La Tunisie sous les crocs des sionisto-islamistes !
Le gouvernement, tunisien qui a été adopté hier par le parlement ne comprend que des ministres du Mouvement Ennahda, le parti majoritaire de Nidaa Tunis ayant implosé en raison de son opportunisme et de ses querelles intestines pour le pouvoir.
La collusion des islamistes avec l’impérialisme sionisto-atlantiste devient flagrante. Après avoir bloqué à 2 reprises un projet de loi sur l’incriminalisation de la normalisation avec l’ennemi sioniste, le gouvernement islamiste laisse tomber le masque. Dans ce gouvernement trois ministres ont annoncé leur filiation avec l’ennemi sioniste:
1 / René Trabelsi: un Juif tunisien qui a aussi la nationalité » israélienne ». C’est un passe- droit car légalement la Tunisie n’a jamais reconnu Isra’hell et la considère comme illégitime et normalement, il ne peut en aucun cas avoir droit à un poste de responsabilité.
2 / Ahmed Gâaloul , entretient des relations priviligiés avec l’ennemi sioniste. C’est un ancien militant islamiste de la prétendue Union générale des étudiants tunisiens et président de l’Université de Taekwondo qui avec le soutien du mouvement islamiste a voulu accueillir une équipe israélienne sur le sol tunisien, si ce n’est l’opposition de la société civile.
3 / Khamis Al-Jahnawi, ancien responsable tunisien des relations commerciales avec l’entité sioniste sous le règne de Ben Ali.
Le mouvement islamiste d’Ennahdha, et le Premier ministre ont vendu la Tunisie pour rester au pouvoir au détriment de l’appartenance culturelle, nationale et de l’ancrage historique de la Tunisie.
Il faut rappeler que malgré la dénonciation des islamistes du modèle culturel occidental, ils sont sur le plan politique ses principaux alliés. Les liens entre les islamistes tunisiens et les USA ne sont pas nouveaux. Ils datent des années 1982 et se sont consolidés dès les années 1985.
Les frères musulmans et les wahhabites sont la 3 ème armée des sionisto-impérialistes dans le monde arabe comme on a pu le voir en Syrie, en Irak, au Yémen et partout à travers la vague de normalisation.
ITRI : Institut Tunisien des Relations Internationales 